Depuis la crise sanitaire, la pression s’accroit sur de nombreuses supply-chains.
Dans le cas des terres rares, caractérisées par leur faible concentration et difficulté d’extraction, cette pression est accentuée par une forte demande liée au développement croissant des technologies et la transition énergétique.
Cette découverte au Japon (alors que la Chine domine aujourd’hui la production mondiale) d’un gigantesque gisement (16 millions de tonnes sur 2 500 m²) ouvre de nouvelles perspectives (économiques, politiques…).
Mais est-ce uniquement une bonne nouvelle ?
Entre tendance de consommation effrénée et casse-tête environnemental (ressources situées à près de 2 000 km au large et plusieurs kilomètres sous terre), les challenges sont bien présents
