Le parlement européen propose de renforcer la législation sur la déforestation importée.
Initialement ciblé sur 6 commodités issues de la culture ou de l’élevage (dont le cuir, le bois ou l’huile de palme), la portée du texte pourrait désormais s’étendre à d’autres produits (comme la viande de moutons, de chèvre, le caoutchouc, le papier imprimé), d’autres acteurs (institutions financières) et d’autres enjeux (respect des droits humains).
L’objectif? Que tous les importateurs démontrent, preuves à l’appui, que leurs produits ne soient pas à l’origine de déboisement ou dégradation des terres.
Un bel exercice de traçabilité jusqu’à la source auquel de nombreuses filières devront donc potentiellement s’atteler, dès 2024 !
Pour lire l’article : c’est par ici !
