Alors que les alternatives au cuir se multiplient, le sujet divise et cristallise toujours autant la profession et l’opinion publique.
Si les arguments contre l’élevage et le cuir ont maintes fois été exposés, les bénéfices réels et les performances de ses alternatives dites « vegan » ont rarement été évaluées.
Pour cela, plusieurs éléments sont à prendre en compte.
De toute évidence, l’origine et la nature de la matière, parfois farfelue, mise en avant (plastique, végétale, issue de la biomasse, co-produit de l’industrie agroalimentaire, etc.) sont des points clés à considérer. De même que la composition finale du nouveau matériau (innovation matière pure ou mélange avec d’autres matériaux plus conventionnels).
L’étude menée par le FILK et commanditée par les acteurs de la profession apporte des éclairages factuels sur un autre point fondamental : les performances techniques.
Car de toute évidence, l’adoption de ces alternatives par les marques en dépendra amplement.
