En 2021, la filière française du cuir devra au moins répondre à deux défis de taille.
Tout d’abord, affirmer et défendre son identité, quelque peu chahutée ces derniers temps, notamment avec l’essor du mouvement vegan.
Deuxièmement, s’engager – en toute transparence – pour une filière « plus éthique et responsable« .
Pendant longtemps, les préoccupations de cette industrie ont essentiellement porté sur l’impact environnemental et le risque chimique liés aux de étapes de transformation. Mais aujourd’hui, la considération des enjeux amont s’accentue fortement, avec notamment la prise en compte du bien-être animal, de la déforestation et de la traçabilité.
En témoigne le développement d’approches plus holistiques, comme le Leather Impact Accelerator de Textile Exchange ou ce livre blanc du Conseil National du Cuir, intégrant dans leurs périmètres et l’élevage, et la transformation.
