Le coton de demain sera t’il cultivé en laboratoire ?

C’est en tout cas le pari d’une start-up américaine, reconnue et primée pour son ambitieuse innovation.

La promesse ? Une technique de culture in vitro décrite comme « dix fois plus rapide, [utilisant] moins de 80 % d’eau et de terre tout en n’émettant qu’une fraction des gaz à effet de serre par rapport au coton traditionnel. »

L’alternative (séduisante) saura t’elle convaincre et se déployer à grande échelle ?

Gardons tout de même en tête que la culture du coton représente une source essentielle de revenus et de développement pour des millions de producteurs et leur communautés. Conduite de manière durable, elle peut également contribuer à la biodiversité, améliorer la santé des sols et lutter contre leur érosion.

Finalement, une stratégie de sourcing efficace ne reposerait-elle pas sur l’optimisation des ressources mais aussi de diversification des solutions alternatives ?

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