Depuis toujours, les commodités agricoles sont soumises aux aléas climatiques.
L’augmentation de l’occurrence des évènements météorologiques extrêmes accentuent cette vulnérabilité, alors que, depuis plus d’un an déjà, la pandémie complexifie les chaines d’approvisionnement en chamboulant l’offre, la demande et la logistique.
Aujourd’hui, le prix du café s’envole suite aux conditions climatiques désastreuses ayant frappé le Brésil (premier producteur mondial) cet été. Un cas loin d’être isolé. Citons par exemple la lentille française ou le bleuet sauvage québécois, également dans la tourmente.
Une situation qui impacte les consommateurs, mais aussi les petits producteurs, souvent touchés en première ligne, comme le rappelle cet article : “We’re also increasingly seeing farmers going bankrupt because there is just one extreme climate event too many, and some of these extremes are compounding. »
Plus que jamais, il est grand temps de cartographier, simplifier et maitriser ses supply-chains. Un travail de longue haleine mais salutaire pour tous, du producteur au consommateur.
DECOUVRIR L’ARTICLE ICI :
