Plusieurs nouvelles ont ébranlé le marché du coton biologique ces derniers jours.
Tout d’abord, la découverte récente par GOTS de certificats de transaction frauduleux, impliquant 20 000 tonnes de faux coton biologique. Et aujourd’hui, l’identification d’OGM dans des produits vendus sous la dénomination coton biologique.
Théoriquement, la certification biologique fournit une assurance sur les pratiques agricoles, comme l’interdiction des OGM. Mais elle ne peut pas apporter une garantie absolue. La preuve.
Cependant, la contamination par les OGM ne provient pas nécessairement de la fraude. La dérive naturelle du pollen (par le vent) arrive fréquemment.
Outre le renforcement du dialogue avec les fournisseurs et l’établissement de relations sur le long-terme, la combinaison d’outils tels que les méthodes de test, les marqueurs d’ADN et la technologie de blockchain nous aidera non seulement à mesurer la teneur en OGM des produits en coton mais aussi à investiguer leur origine, qu’elle soit frauduleuse… ou non.
